[Série été] 5 articles à relire sur la facturation électronique
Tout au long de l'été, la rédaction vous propose une sélection d'articles parus depuis janvier 2025. Redécouvrez les cinq articles les plus lus sur la réforme de la facturation électronique et les enjeux pour les entreprises.
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1- Facturation électronique : entreprises, préparez-vous dès maintenant !
À quelques mois du déploiement de la réforme de la facturation électronique, en septembre 2026, les entreprises doivent anticiper un certain nombre d'étapes. Quels en sont les défis ? Premier point, toutes les entreprises devront impérativement avoir contractualisé avec une Plateforme de Dématérialisation Partenaire (PDP). Cet engagement est indispensable afin de pouvoir réceptionner les factures au nouveau format, conforme au dispositif de facturation électronique (e-invoicing). Ensuite, les équipes devront procéder à une analyse fine des formats de factures actuellement utilisés afin de les cartographier en regard des champs requis par le futur modèle de facture électronique.
2- Facturation électronique : qu'attend la DGFiP de la réforme et des entreprises ?
Dans cet article, Sébastien Rabineau, directeur du projet facturation électronique au sein de la Direction Générales des Finances Publiques (DGFiP) a rappelé quelles seraient les prochaines échéances et grands changements initiés par la réforme, dont l'administration fiscale espère tirer parti. Pour lui l'objectif final de la réforme est de servir trois dimensions essentielles : la qualité de la relation commerciale avec les partenaires, la qualité de l'établissement des comptes et de leur intégration dans les logiciels de gestion, ainsi que l'amélioration de la relation avec l'administration fiscale.
3- Facturation électronique : e-invoicing, e-reporting, comment réussir la mise en oeuvre ?
La réforme de la facturation électronique introduit des changements majeurs dans les processus "métiers" des entreprises. La direction financière est d'autant plus impactée qu'elle gère les entrées des flux financiers en amont et aval de la facturation. Dans cet article, il est question des principales étapes et points clés à retenir pour les entreprises, et retour sur deux mécanismes bien distincts de la réforme de facturation électronique. L'e-reporting constitue une fonction purement déclarative auprès de l'administration fiscale qui ne concerne pas la transmission des factures entre entreprises, mais permet uniquement de rapporter les opérations commerciales à l'autorité fiscale. L'e-invoicing, en revanche, transforme fondamentalement les processus d'émission et de réception des factures. Ce mécanisme implique à la fois la transmission des factures aux clients et leur déclaration à l'administration.
4- Facturation électronique : 4 étapes clés à suivre pour bien se préparer
Dans cet article, Guillaume Réjou VP Product Marketing chez Cegid a rappelé les principales étapes à ne pas néglliger pour être prêt au 1er septembre 2026. La première étape est celle de la compréhension. Il ne s'agit pas simplement de respecter une date limite, mais d'intégrer une réforme complexe, encore en évolution, et aux impacts concrets sur l'organisation, les processus, les outils, les ressources humaines et la productivité. Deuxième étape : la cartographie des flux et des outils. Autre étape, la sélection des bons partenaires pour mettre en oeuvre la réforme, choisir avec soin votre plateforme de dématérialisation partenaire (PDP), de vérifier la compatibilité des logiciels actuellement utilisés, notamment dans les environnements bureautiques, et d'obtenir dès à présent des réponses précises à ces questions techniques.
5- Facturation électronique : seules 1 % des entreprises se disent prêtes face à la réforme
Selon la deuxième édition de l'enquête annuelle menée par OpinionWay pour Quadient publiée en avril, seules 1 % des entreprises de 10 salariés et plus déclaraient avoir déjà mis en place l'ensemble des prérequis de la loi de finances. Ce chiffre monte à 4 % chez les structures de plus de 250 salariés, pourtant les premières concernées par l'échéance du 1er septembre 2026. En parallèle, 83 % des entreprises se disent confiantes quant à leur capacité à respecter les délais, tout en étant 42 % à estimer qu'elles auront besoin d'au moins 12 mois supplémentaires, voire 24 mois ou plus pour 5 % d'entre elles.
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