Optimiser les processus de reportings financiers : entre méthode et solutions
À l'occasion des Journées DAF, LucaNet a convié le co-fondateur de Super Capital pour témoigner de la nécessité d'optimiser les processus de reporting financier. L'enjeu ? Faire du DAF, le partenaire des opérationnels. Décryptage.
Donner de la valeur ajoutée aux reportings financiers. C'est, pour Frédéric Baecke, co-fondateur de Super Capital, spécialisée dans le financement des entreprises, notamment des startups, le graal de tout directeur financier. « Parvenir à mettre en relief les chiffres produits par la comptabilité pour donner du sens et proposer des solutions, c'est le sens de l'action des directions financières aujourd'hui ». Un sens impossible à trouver dans un simple tableau Excel, même parfaitement conçu ! Convaincu que la mission du DAF consiste à apporter de la valeur aux opérationnels, le co-fondateur de Super Capital considère que la finance « n'est surtout pas un inquisiteur, mais un tiers de confiance entre la présidence d'une entreprise et les opérationnels ». Pour ce faire, il faut cependant agir avec méthode, adopter la bonne approche méthodologique,
mais aussi se doter de solutions adaptées ! « L'automatisation du reporting financier repose sur l'homogénéisation de l'information. En tant que solution de pilotage de la performance financière, LucaNet répond à différents enjeux de consolidation financière, de la planification budgétaire et de reporting financier », commente Stéphane Pimienta, président de LucaNet France.
Reportings financiers : entre souplesse, flexibilité et collaborativité
La production de l'information financière repose sur une exigence de sécurisation dynamique. « Pour tenir les délais de clôture, pour délivrer l'information financière dans les temps, Excel se révèle trop rigide et souffre d'un manque de collaborativité », commente Frédéric Baecke. Quant aux ERP multi-environnementaux, ils permettent rarement de disposer d'une vision plug-and-play des reportings. Autant de raisons qui ont plaidé pour le choix de LucaNet qui répond à une autre attente forte des DAF : l'indépendance. Indépendance vis-à-vis de l'information, de la donnée, des fonctionnalités. « LucaNet a été pensé comme un outil standardisé pour la direction financière par des directeurs financiers, précise Stéphane Pimienta et, à ce titre, l'ensemble des sujets qui peuvent graviter autour du reporting financier sont nativement intégrés dans la solution pour garantir l'autonomie des utilisateurs ».
Impliquer les équipes et donner du sens
Dans un monde professionnel frappé de plein fouet par la quête de sens et par le défi de la rétention des talents, Frédéric Baecke en est certain, « il faut impliquer les collaborateurs en leur permettant de générer de la valeur. La simplicité d'utilisation de LucaNet rend l'information plus accessible et, ce faisant, elle permet à chaque membre de l'équipe de s'impliquer davantage et de ne pas se cantonner à de la saisie d'informations ». Le principe ? Faire en sorte que chacun puisse mesurer l'impact de ses actions sur celles des autres et ainsi créer une chaine de compétences autant que de responsabilités qui contribue à « faire émerger une dynamique de groupe, favorable au travail collaboratif », conclut Stéphane Pimienta.
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