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Supply job, un cabinet de recrutement dédié à la supply chain et aux achats

Recruter des experts "métiers" en faisant appel à des experts "métiers" : tel est bien le crédo, et l'atout, du cabinet de recrutement en logistique, achats, transport et supply chain, Supply Job.

Publié par Floriane Salgues le | Mis à jour le
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Supply job, un cabinet de recrutement dédié à la supply chain et aux achats

En recherche de votre nouveau directeur d'exploitation, de supply chain ou de site, ou, encore du futur responsable achats de votre entreprise ? Le cabinet de recrutement de cadres et cadres supérieurs en logistique, transport et supply chain, logiquement nommé "Supply job", crée en 2012, annonce sa montée en puissance pour 2015. Son atout revendiqué : l'expertise. "Nous nous démarquons des autres cabinets de recrutement par une approche très technique, avance Didier Aivazoff, directeur associé de l'enseigne juridique Smartlog, dont émane Supply Job. Nous ne sommes pas que des recruteurs, mais des techniciens avant tout", affirme-t-il.

1re mission : optimiser l'organisation de l'entreprise

Didier Aivazoff

Ainsi, avant de procéder au processus de recrutement de la perle rare, expert des achats ou de la supply chain, le cabinet scrute l'organisation de l'entreprise, de la TPE au grand groupe, et délivre une prestation de "conseil métier". "Notre première mission est de valider que l'organisation pensée par l'entreprise est la bonne, et notamment que les services et les personnes mis sous la responsabilité du recruté sont pertinents et correspondent à la stratégie du groupe, confirme Didier Aivazoff. Nous menons donc un entretien technique avec l'employeur pour l'aider à définir ses objectifs, voire à reventiler la répartition des responsabilités envisagée. Souvent, une optimisation de l'organisation est possible."


2e mission : chasser la perle rare

Les chasseurs de tête définissent, dans ces conditions, des critères majeurs sur lesquels s'appuyer pour recruter le candidat adéquat, comme une expérience similaire à celle demandée par l'entreprise, ou des compétences techniques pointues. "Dans le cas d'une entreprise qui migrerait vers un nouvel ERP, nous recherchons bien sûr une personne qui a déjà vécu cette situation", exemplifie le directeur technique.

Commence alors un processus de recrutement bien rôdé : la rédaction d'une fiche de mission, la diffusion d'une annonce sur le site Web de Supply Job et de divers médias classiques - le tout via le logiciel de recrutement et de gestion de candidatures, Profil Soft -, un entretien téléphonique avec une vingtaine de candidats, suivi d'un entretien physique ou en visioconférence. Ici, pas de test psychotechnique ou de mise en situation loufoque. "Le candidat va être passé sur un 'grill technique', explique l'expert. Il aura face à lui des hommes et des femmes de métier - un directeur de supply chain dans le cas d'un recrutement d'un directeur de supply chain, par exemple - qui vont vraiment l'évaluer sur ses compétences." Sans concession : "Nous faisons la différence entre un candidat qui sait raconter son expérience, car il l'a vécu et un candidat qui sait la mettre en oeuvre." S'ensuit la composition d'une short list des meilleurs techniciens, charismatiques et capables de fédérer autour d'un projet.

De dix à quinze entretien par an, jusqu'à la fin 2014, le cabinet Supply Job se dit prêt à passer à la vitesse supérieure. Son tarif : un pourcentage de la rémunération annuelle brute globale, dans une "fourchette classique du marché", indique Didier Aivazoff.


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