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Revue de presse pour directeurs administratifs et financiers (semaine du 25 mai 2020)

Cette semaine dans la presse éco-finance on fourbit ses armes pour rebondir même si l'impact de la crise sera majeur pour bon nombre de marchés et notamment celui de l'assurance. Bonne lecture !

Publié par Camille George le - mis à jour à
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Revue de presse pour directeurs administratifs et financiers (semaine du 25 mai 2020)

Conseils d'administration : 10 points de vigilance en post-Covid

Avec une pandémie dont on ne connaît pas encore les pleines conséquences, les conseils d'administration font face à une situation complexe et à des défis imprévus alors qu'ils doivent guider la direction générale à travers de multiples inconnues. Les entreprises reprennent peu à peu leurs activités mais " le Covid-19 demeure une menace qui persistera probablement pendant le reste de l'année et peut-être encore plus longtemps, notent les avocats d'affaires. À l'avenir, les entreprises doivent non seulement faire face à un paysage économique modifié, mais aussi à un examen accru du leadership, de la gestion des risques et de leurs relations avec les employés, les clients et les autres parties prenantes ", expliquent-ils. Même si l'élaboration et l'exécution du " plan de réouverture " relèvent du comité exécutif, les conseils d'administration doivent examiner les principaux éléments du retour à une " nouvelle normalité ". >> Lire l'article complet sur le site Les Echos

En 2019, la France a attiré plus d'investissements étrangers que ses voisins européens

Pour la première fois, la France passe devant le Royaume-Uni en matière d'attractivité des investissements étrangers. Mais cette excellente nouvelle pourrait être remise en cause par la crise. Selon un baromètre publié jeudi par le cabinet EY la France a concentré 18,7% des investissements étrangers annoncés l'an dernier, contre 17,3% pour le Royaume-Uni et 15,1% pour l'Allemagne. "Évidemment, les projets sont tous soumis à une forte révision, en raison de la crise et des incertitudes qu'elle entraîne", avertit EY, ajoutant qu'à l'échelle européenne "environ 65% des investissements annoncés en 2019 seraient maintenus, 25% reportés ou fortement révisés, et 10% annulés. Les investissements étrangers sont essentiels à l'économie de certains pays, dont la France, et nul ne peut douter que la compétition pour les attirer sera encore plus féroce" avec la crise, selon EY. Au sein des grandes économies européennes, "on va voir s'ouvrir quelques différences entre les pays qui pourront gérer une reprise économique plus soutenue que d'autres". >> Lire l'article complet sur le site Maddyness

La résilience des pays à l'épreuve du Covid-19

La Norvège, puis la Suisse, le Danemark, l'Allemagne et la Suède arrivent en tête des pays les plus à même de faire face à une crise, y compris d'ordre sanitaire. Informations cruciales pour les entreprises ! C'est ce qu'indique le septième " Indice de résilience " - fondé sur douze vecteurs d'analyse du climat des affaires, de la résilience de l'économie, de la qualité du risque et de la chaîne d'approvisionnement -, qui classe 130 pays ou territoires, en fonction de cette capacité à surmonter les épreuves, publié par l'assureur FM Global. La France conserve sa quatorzième place. De son côté, Taïwan gagne quatorze places pour atteindre la 29e position, alors que la République dominicaine se fait remarquer en perdant 19 places, au 90e rang. Comme lors des précédentes éditions, c'est toujours Haïti qui ferme la marche, à la 130e position, après le Liban, le Tchad, l'Ethiopie et le Venezuela. Des résultats à regarder de très près alors que de nombreux groupes s'apprêtent à repenser leurs chaînes d'approvisionnement. >> Lire l'article complet sur le site Les Echos

Les entreprises devront contribuer plus au bien-être collectif dans le monde d'après

La crise a renforcé l'exigence des Français dans le développement de pratiques plus sociales et environnementales chez leurs employeurs. Un bon moyen de fidéliser les collaborateurs et les clients. L'étude sur la raison d'être des entreprises, réalisée les 19 et 20 mai par l'institut Opinionway auprès d'un échantillon représentatif de 1018 personnes, montre que si les Français jugent que les entreprises doivent s'occuper de leur performance, 78% considèrent qu'elles doivent également contribuer au bien-être collectif (en matière sociale, environnementale...). les Français souhaitent notamment que les entreprises qui reçoivent des aides publiques contribuent davantage au bien-être collectif (à 91%, avec là encore des scores impressionnants pour les plus de 50 ans), qu'elles prennent davantage en compte le bien-être de leurs salariés (à 91% également, et encore plus pour les CSP-) ou qu'elles aient une responsabilité vis-à-vis des territoires dans lesquels ils sont implantés (à 90%). >> Lire l'article complet sur le site Le Figaro

France : la crise sanitaire aura un impact "majeur" sur l'assurance

Le secteur français de l'assurance est "solide", mais la crise liée au Covid-19 et ses conséquences économiques et sociales auront "un impact majeur", a fait savoir ce jeudi l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), le superviseur français de la finance. Du côté des revenus, "il faut s'attendre à une baisse des produits financiers et des primes encaissées", a expliqué Bernard Delas, vice-président de l'autorité. Autre conséquence de la crise, les ratios de solvabilité des assureurs se sont dégradés, de l'ordre de 20 à 30 points au 31 mars dernier. Mais de façon générale, le secteur est suffisamment solide et bien capitalisé pour faire face à tous ses engagements et résister même dans les scénarios les plus défavorables. >> Lire l'article complet sur le site La Tribune

Qu'est-ce qu'une entreprise agile ?

S'il n'existe pas à ce jour de consensus autour de la définition de l'entreprise agile, cela ne l'empêche pas d'incarner la nouvelle alternative au management traditionnel. Osons une définition : " une entreprise agile est une entreprise capable de mobiliser son intelligence collective pour créer de la valeur et évoluer de façon itérative et en continu, avec une économie de moyens et d'énergie, et en créant les conditions d'épanouissement de ses membres. " Cela sous-entend quelques caractéristiques propres aux méthodes de développement agile : la capacité à épouser le changement ; les boucles de feed-back rapide ; les équipes pluridisciplinaires et la collaboration entre les membres ; le respect et le développement personnel des individus ; la frugalité et la durabilité ; la focalisation sur la valeur. >> Lire l'article complet sur le site HBR France


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