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Revue de presse pour directeurs administratifs et financiers (semaine du 24 février 2020)

Cette semaine la presse financière fait notamment le point sur les fonds spéculatifs activistes, les offres de financement bancaire, la gestion de titres financiers dans la blockchain ou encore sur les actions à mettre en place au sein des entreprises française face au Coronavirus. Bonne lecture !

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Revue de presse pour directeurs administratifs et financiers (semaine du 24 février 2020)

La vérité sur l'impact des fonds spéculatifs activistes

A l'heure où les campagnes des fonds spéculatifs activistes gagnent en popularité et en puissance, il devient crucial d'apporter des preuves des implications financières et non financières à long terme de leurs actions. Ces fonds réveillent-ils le management de belles endormies ou vident-ils les entreprises de leur substance ? Les fonds spéculatifs activistes injectent du capital dans une entreprise, puis prennent des mesures pour accroître la valeur de ses actions et les revendre en réalisant un gain important. Ils y parviennent, entre autres, en exigeant des sociétés une réduction des coûts et des investissements, une restructuration des actifs et une redistribution du capital en faveur des actionnaires. Résultat, si la valeur de la société commence par augmenter, elle décroît ensuite. Les efforts des entreprises en matière de RSE sont à l'arrêt et les dépenses opérationnelles sont drastiquement réduites. >> Lire l'article complet sur le site HBR France

Crédit : la question centrale porte sur la compétitivité des services des banques

Les entreprises peuvent avoir intérêt à comparer les offres de financement afin de trouver celle qui sera la plus adaptée à leur activité, selon Thomas Bostock, expert en courtage en crédits professionnels chez Meilleurtaux. Ainsi chaque banque a sa politique de risque et apprécie différemment les secteurs d'activité sur un même profil d'entreprise et les taux de crédit proposés peuvent varier d'environ 20 ou 30 points de base d'une banque à l'autre. Mais la vraie différence se situe dans le coût des services additionnels : assurances, coût des transactions, etc. Pour un restaurateur qui sert chaque jour 150 couverts, réglés à 60 % par carte, le coût des transactions peut facilement dépasser 20.000 euros par an. >> Lire l'article complet sur le site Les Echos

Blockpulse lance un service de gestion de l'actionnariat basé sur la blockchain

En convertissant les actions des entreprises en tokens, Blockpulse rend l'actionnariat plus liquide et simplifie la gestion des titres financiers pour toutes les parties prenantes. Parce que la gestion des titres financiers d'une entreprise prend un temps fou : beaucoup d'opérations se font sur papier, gérer les clauses et le registre de mouvement de titres prend du temps et requiert souvent l'intervention d'un avocat, Blockpulse propose une plateforme permettant aux entreprises de numériser et gérer toutes les opérations liées à leur capital. Et qui dit gestion du capital dit également levée de fonds. Les entreprises ont aujourd'hui la possibilité de réaliser une levée BSA Air en tokens via la plateforme. Et d'ici quelques semaines, elles auront également accès aux BSA et aux BSPCE, pour couvrir un large éventail de produits d'actionnariat. >> Lire l'article complet sur le site Maddyness

Finances publiques : le carton rouge de la Cour des comptes

C'est un nouvel avertissement pour le gouvernement. Le dernier rapport de la Cour des comptes publié ce mardi 25 février note que " le redressement des finances publiques, déjà très graduel au cours des dernières années, est aujourd'hui quasiment à l'arrêt ". Malgré ce jugement relativement sévère, le gouvernement a peu de marges de manoeuvre. La croissance économique a été révisée à la baisse en 2019 et devrait s'établir à 1,2 %. À la grande surprise des conjoncturistes, le PIB s'est contracté au dernier trimestre à -0,1 %, contre +0,3 % au troisième trimestre. Ce qui devrait affecter l'activité en ce début d'année. En outre, l'économie mondiale, déjà plombée par les tensions commerciales, devrait pâtir du coup de frein de la Chine actuellement paralysée par l'épidémie de coronavirus. >> Lire l'article complet sur le site Euractiv

Coronavirus : " Face à l'épidémie, les entreprises doivent se mettre en ordre de marche "

Pierre Chevillard et Pierre Warin, avocats en droit du travail, énumèrent dans une tribune au " Monde " les obligations des entreprises et les droits des salariés en situation de crise sanitaire. Maintenant que l'épidémie semble avoir gagné la France, les entreprises doivent se mettre en ordre de marche pour apporter des solutions conformes à leurs obligations de prévention des risques, en y associant la médecine du travail et, lorsqu'elles en sont dotées, le comité social et économique (CSE). Deux concepts juridiques sont en jeu : d'une part, l'obligation de prévention des risques professionnels ; d'autre part, le droit de retrait des salariés. Ainsi, télétravail ou dispense d'activité salariée, rapatriement des salariés détachés ou en mission, information et sensibilisation, actualisation du document unique d'évaluation des risques entre autres, font partie des actions à mettre en place. >> Lire l'article complet sur le site Le Monde


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