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Un tiers des Daf prêts à stocker des informations confidentielles dans le cloud : à tort ou à raison?

Les responsables financiers confieraient plus volontiers des informations sensibles à un fournisseur de services cloud que les décideurs informatiques. Parce qu'ils n'en mesurent pas aussi finement les risques...

Publié par Jérôme Pouponnot le | Mis à jour le
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Un tiers des Daf prêts à stocker des informations confidentielles dans le cloud : à tort ou à raison?

Selon l’étude d'Iron Mountain(1), 35 % des directeurs financiers européens interrogés ne voient pas d'inconvénient à stocker dans le Cloud des états comptables confidentiels, factures, déclarations d'assurance et fiscales, contre 32 % des décideurs informatiques.

Une méconnaissance des risques et de la législation

L'écrasante majorité d'entre eux (85,3 % en Europe et 84,30% en France ) pensent que la responsabilité de la protection de leurs données professionnelles incombe au fournisseur de services. Or, la législation de l'UE spécifie clairement qu'en cas de perte ou de compromission de données, la responsabilité revient au propriétaire.
De manière générale, ils sont moins préoccupés que les responsables informatiques par la protection des données (49 % contre 55 %), les problèmes de sécurité et de conformité (45 % contre 49 %), ou le risque que les données soient copiées ou déplacées (23 % contre 25 %).

(1)Pour cette étude, Iron Mountain a interrogé des décideurs des services informatiques, financiers et juridiques de moyennes et grandes entreprises au Royaume-Uni, en Espagne, en France, en Allemagne, aux Pays-Bas et en Hongrie.

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