Recherche

DAF, pensez au crowdlending pour financer une filiale à l’étranger

Le crédit participatif permet aux entreprises de repenser leurs stratégies de croissance à l’international. En empruntant auprès de la foule, les sociétés échappent aux contraintes bancaires.

Publié par LOOK&FIN le | Mis à jour le
Lecture
2 min
  • Imprimer

S’internationaliser. Toute entreprise en phase de développement cherche à se développer à l’international. Sans devoir aller très loin, il suffit de souhaiter aller chez nos voisins, que ce soit au Sud, au Nord ou encore à l’Est. Mais comme souvent, financer sa croissance à l’internationale est couteuse et peut parfois virer au casse-tête.

Lorsqu’une société veut s’installer à l’étranger, le plus simple est d’ouvrir une filiale. Réglementairement parlant, cela reste le plus facile à gérer tout comme comptablement. Dans ce cas, aller sur place pour négocier avec les banques locales pourrait être intéressant. Or, le plus souvent, la société n’étant pas connue des réseaux bancaires locaux, les portes restent difficiles à passer et les prêts compliqués à obtenir.

La solution alternative est ainsi de se tourner vers sa banque habituelle. Mais là encore, les choses peuvent être compliquées, la banque certes vous connaissant, mais ne connaissant pas systématiquement le pays. Les allers-retours peuvent prendre du temps avant d’obtenir de sa banque que le dossier soit traité.

Le crowdlending pour accélérer la procédure

Or, lorsqu’une entreprise ouvre une filiale, elle a envie que les choses aillent vite. Dans ce cas, le crowdlending peut s’avérer une solution de choix. En effet, obtenir un crédit auprès des particuliers ne prend que 10 jours à 2 semaines. Une rapidité qui séduit de plus en plus les entreprises, la France ayant financé 123 millions d’euros en crowdlending cette année.
 

Aussi, pour pouvoir ouvrir sa filiale, débloquer rapidement les fonds peut s’avérer très utile, étant donné la nécessité d’aller vite pour pouvoir s’implanter. Le crowdlending, notamment chez Look&Fin, permet ainsi de financer sa PME tant le financement du BFR en attendant que la filiale génère du cash que de l’immobilier pour y installer des bureaux.

 

Le financement participatif, par sa rapidité et sa fluidité des opérations permet d’être plus souple qu’une banque, même si cela ne reste qu’une alternative au système bancaire classique. Mais il permet de se lancer plus rapidement dans de nouvelles opérations et ainsi de financer sa croissance.

 

S'abonner
au magazine
Retour haut de page