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Revue de presse pour directeurs administratifs et financiers (semaine du 30 mars 2020)

Au cours de cette nouvelle semaine de confinement pour la France et une bonne partie du monde, États et banques centrales ont multiplié les annonces et les mesures pour soutenir l'économie et tenter de limiter la casse au niveau des entreprises.

Publié par Camille George le - mis à jour à
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Revue de presse pour directeurs administratifs et financiers (semaine du 30 mars 2020)

Prêts garantis : les questions qui se posent

Moins d'une semaine après la mise en place de la garantie publique de 300 milliards d'euros sur les nouveaux prêts, plus de 35.000 demandes ont été adressées à la plateforme des pouvoirs publics gérée par bpifrance. Et quelque 6 milliards d'euros ont déjà obtenu un pré-accord de la part des banques. Mais des craintes émergent chez ces dernières. A date, tous les comptes d'entreprises n'ont pas été certifiés par les commissaires aux comptes. Pour les PME de moins de 1,5 milliard d'euros de chiffre d'affaires, c'est aux banques que revient la responsabilité de donner un pré-accord. La BPI, de son côté, opérera des contrôles si les garanties sont déclenchées. >> Lire l'article complet sur le site Les Echos

La France met le versement des dividendes en confinement pendant l'épidémie

Le gouvernement compte interdire le versement des dividendes aux entreprises bénéficiant d'un soutien financier public. Une interdiction partielle que beaucoup veulent généraliser dans le contexte de crise sanitaire et économique." Une entreprise qui n'a pas de trésorerie pour payer ses charges fiscales et sociales n'en a pas pour payer ses actionnaires " a déclaré Bruno Le Maire, affirmant qu'une entreprise ayant demandé un report de charge ou une avance de trésorerie devrait rembourser ces aides " avec une pénalité d'intérêt " si elle versait des dividendes. Si la France a officialisé sa ligne de conduite sur la question des dividendes, d'autres appels en Europe pourraient généraliser l'idée d'un gel global pendant la crise du coronavirus. >> Lire l'article complet sur le site Euractiv

Cessation des paiements après le 12 mars : faisons comme si tout allait bien !

Pour permettre au président de la République de tenir la promesse faite le 16 mars dernier qu'" aucune entreprise ne sera livrée au risque de faillite ", une ordonnance du 27 mars prévoit qu'aucune entreprise ne pourra être considérée comme étant en état de cessation des paiements si elle ne l'était pas au 12 mars 2020, et ce, jusqu'à trois mois après l'expiration de la période d'état d'urgence sanitaire. Par l'effet d'une fiction légale, l'entreprise - qui n'était pas en état de cessation des paiements au 12 mars dernier - peut ainsi toujours solliciter l'ouverture d'une procédure de mandat ad hoc ou de sauvegarde, même si elle est, depuis cette date, en état de cessation des paiements. Et elle le peut sans faire encourir au dirigeant le risque d'une mise en cause de sa responsabilité. >> Lire l'article complet sur le site Les Echo

Fonds corona à 100 milliards d'euros : mode d'emploi

D'après une ébauche de proposition, les États membres fourniront jusqu'à 100 milliards d'euros de garanties pour créer un fonds temporaire de soutien aux travailleurs des pays durement touchés par le coronavirus à travers un nouvel instrument de soutien temporaire, " SURE ", qui vise à atténuer les risques du chômage en temps de crise. À ce titre, le document précise que le fonds indemnisera partiellement " l'augmentation significative et soudaine des dépenses publiques " destinée à sauver les emplois. Plus spécifiquement, cet instrument servira à alléger la charge financière accrue des régimes nationaux de travail à court terme et toute mesure similaire de protection des emplois face aux risques du chômage et de la perte de revenus. >> Lire l'article complet sur le site Euractiv

La "monnaie hélicoptère" : remède miracle face à la crise du coronavirus ?

Face à l'ampleur de la crise économique provoquée par la pandémie du nouveau coronavirus, le concept de monnaie hélicoptère ressurgit. Aux mains des banques centrales, cet instrument financier consiste à donner directement de l'argent aux ménages pour relancer la demande et doper l'activité économique. Séduisant en théorie, cet outil s'accompagne de craintes et d'obstacles techniques. Mais jusqu'à quand ? L'intérêt qu'un tel instrument soit confié à une banque centrale réside dans sa capacité à agir rapidement. L'institution monétaire est par ailleurs la mieux équipée pour contrôler le risque hyper-inflationniste, même si aujourd'hui un tel scénario paraît bien lointain. >> Lire l'article complet sur le site La Tribune

Pourquoi vous ne devez surtout pas prendre de décision à 15 heures

En fonction du moment de la journée, nous n'avons pas les mêmes capacités. En prendre conscience peut favoriser la performance et surtout, éviter les erreurs. Plus vous prenez une décision tard dans la journée, plus cette dernière risque d'être mauvaise. C'est le résultat de plusieurs études. Pour les réunions analytiques nécessitant des réflexions pointues, mieux vaut privilégier le matin. Pour les réunions de créativité, mieux vaut viser l'après-midi. Enfin, si vous ne pouvez réorganiser votre entreprise dans ce sens, il vous reste une solution, qui permet de se reconcentrer pendant trois heures d'affilée : une sieste de dix minutes. >> Lire l'article complet sur le site HBR France

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