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Revue de presse pour directeurs administratifs et financiers (semaine du 03 février 2020)

Le tour d'horizon hebdomadaire de la presse éco-finance révèle que les entreprises ne sont pas mûres pour le PCA, la French tech profite de levées de fonds spectaculaires et Paris veut tirer parti du Brexit entre autres !

Publié par Camille George le - mis à jour à
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Revue de presse pour directeurs administratifs et financiers (semaine du 03 février 2020)
© Ivelin Radkov - Fotolia

Plans de continuité d'activité : encore trop d'amateurisme !

Si les entreprises ont commencé à travailler sur des PCA, les démarches manquent de maturité, tant dans la définition méthodologique que dans le suivi et le maintien en conditions opérationnelles de ces plans selon une étude menée par Grant Thornton. 80 % des organisations ont mis en place une cartographie des risques , " identifiant les éléments majeurs compromettant les activités de l'organisation ", mais seuls 15 % des responsables interrogés déclarent avoir véritablement mis en place leur PCA (45 % sont en cours de formalisation). Alors qu'il existe un nombre croissant de " référentiels " externes en matière de PCA (comme la norme ISO 22301), 50 % des dispositifs s'adossent à un référentiel interne, " déployé par l'entité elle-même ou à la demande du groupe auquel elle appartient ", et dans un tiers des cas, les répondants admettent que le PCA n'a " pas été établi selon des méthodologies établies ". >> Lire l'article complet sur le site Les Echos

Le réchauffement climatique dope la croissance de BlaBlaCar

La plateforme française de covoiturage BlaBlaCar a affirmé jeudi avoir augmenté son chiffre d'affaires de 71% en 2019, assurant bénéficier d'un engouement des consommateurs pour les solutions de transport alternatives face à l'urgence du réchauffement climatique. BlaBlaCar estime que le partage de véhicules au sein de sa communauté d'utilisateurs permet d'éviter l'émission de 1,6 million de tonnes de CO2 par an et prévoit que ce chiffre atteindra 6,4 millions de tonnes aux alentours de 2023. Pour l'année 2020, BlaBlaCar, qui revendique le rang de leader mondial du covoiturage longue distance, prévoit "d'accélérer la croissance, de renforcer son offre" et "d'investir significativement dans des recrutements". >> Lire l'article complet sur le site La Tribune

Paris vise la première place financière d'Europe après le Brexit

Londres représente le premier centre financier européen, mais les autorités françaises rêvent de voir Paris en tête. Reste encore à voir si la City perdra l'accès aux marchés européens après les négociations entre le Royaume-Uni et l'UE. En raison de la sortie du Royaume-Uni de l'UE, officialisée ce 31 janvier, entre 80 et 100 entreprises du secteur financier londonien ont décidé de délocaliser environ 4000 emplois directs à Paris, et ce processus " risque probablement de s'accélérer ", annonce Arnaud de Bresson, directeur général de Paris Europlace. Bruno Le Maire va même jusqu'à dire que l'économie française " doit tirer parti du Brexit ". >> Lire l'article complet sur le site Euractiv

La French Tech sur un petit nuage

Au mois de janvier, les start-up de la French Tech ont bouclé plusieurs tours de table d'ampleur. Alors que le spécialiste en ligne du bricolage ManoMano a levé 125 millions d'euros la semaine dernière, Qonto, néobanque aux 65 000 entreprises clientes, a récolté 104 millions d'euros lors d'une opération de financement menée par le groupe chinois Tencent. Ces tours de table confirment l'attractivité croissante des pépites de l'écosystème tricolore, qui ont récolté plus de 5 milliards d'euros en 2019, contre 3,4 milliards un an plus tôt. Surtout, les prochains mois sont susceptibles de voir le nombre de ces opérations augmenter, alors qu'une vingtaine d'investisseurs français se sont engagés à débloquer 6 milliards d'euros pour le financement des start-up en hypercroissance d'ici à fin 2021. >> Lire 'article complet sur le site Option Finance

Recrutement : trop d'informations favorise la discrimination

Avec les profils en ligne, les candidats peuvent augmenter presque à l'infini la quantité d'informations présentées aux recruteurs. Mais est-ce une bonne chose pour autant ? Pas sûr. Le remplacement des CV au format A4, de taille limitée, par des profils en ligne, de taille illimitée, n'est pas sans conséquences sur les décisions des recruteurs : la quantité d'informations renseignée dans un profil pourrait-elle dépasser leurs capacités attentionnelles et induire des interprétations erronées ? Après étude il apparait que lorsque les profils sont courts, les recruteurs savent identifier les informations pertinentes et repérer les profils illusoires. >> Lire l'article complet sur le site Harvard Business Review France

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