Recherche

Revue de presse pour directeurs administratifs et financiers (semaine du 31 décembre 2018)

Entre risques et opportunités, contraintes et libertés, comment se profile 2019? Dans la presse, les prévisions et analyses se succèdent en ce début d'année. En voici une sélection choisie avec soin, accompagnée des meilleurs voeux de la rédaction pour cette nouvelle année!

Publié par Camille George le - mis à jour à
Lecture
5 min
  • Imprimer
Revue de presse pour directeurs administratifs et financiers (semaine du 31 décembre 2018)

Best of 2018 des essais

Pour bien commencer l'année la revue Usbek & Rica propose une compilation des essais qui ont marqué 2018 par l'acuité, parfois l'originalité, des thèses qui y sont développées. Des visions de notre présent, notre futur, l'économie et la société dans son ensemble qui tantôt se répondent, tantôt s'opposent mais restent toujours éclairantes et enrichissantes. D' "Happycratie" à "La théorie du donut" vous trouverez de quoi faire votre "marché" selon votre humeur et vos centres d'intérêts. >> Lire l'article complet sur le site Usbek & Rica

Les 3 catastrophes de 2019

Voilà une vision beaucoup moins optimiste de ce qui pourrait nous attendre en 2019. Mais pour autant, les analyses de Xerfi Canal n'en sont pas moins réalistes. Voici trois évènements, qui pourraient jalonner une bifurcation de l'histoire, qui n'a pas attendu 2019 pour s'enclencher, et qui ne s'arrêtera pas à 2019. Rappelons que la notion de "bifurcation" en tant qu'objet mathématique caractérise un petit changement d'un paramètre physique qui produit un changement majeur dans l'organisation du système. Trois dates, apparemment sans lien, pourraient faire évènement en 2019, et participer de façon décisive à l'évolution lente sous-jacente qui change le cours de la mondialisation libérale: début mars, la fin de la trêve dans la guerre commerciale Chine US, qui sonne comme un ultimatum ; les élections en Algérie, qui font ressurgir la grande peur, d'un acte II ou III de la crise des réfugiés en Europe, avec la France en première ligne; et enfin les élections européennes en mai, qui pourraient marquer un nouvel acte de la déconfiture des démocraties libérales. >> Lire l'article complet sur le site La Tribune

Le bitcoin a 10 ans : après la correction, le rebond?

Faut-il souhaiter un joyeux anniversaire, un prompt rétablissement ou une renaissance telle celle d'un phénix au bitcoin qui fête ses 10 ans ? La crypto-monnaie, née le 3 janvier 2009, a perdu plus de 72% de sa valeur l'an dernier après avoir atteint un sommet historique en décembre 2017. Depuis sa création, le Bitcoin a déjà connu plusieurs phases de forte correction. Ses perspectives ne sont peut-être pas aussi sombres que ce bilan laisse paraître : des acteurs institutionnels de premier plan, dont l'opérateur de la Bourse de New York, se préparent à investir cette nouvelle classe d'actifs. Les crypto-monnaies sont par essence très volatile. Elles peuvent rester à un très bas niveau sur la durée voire tomber à zéro mais si l'on compare les courbes de pics de 2011, 2013 et 2017, les rebonds après un krach sont courants. de plus, l'intérêt pour le bitcoin ne tend pas à s'émousser. Et 2019 devrait être l'année de l'arrivée de grands institutionnels, dans un contexte réglementaire plus ferme mais plus clair. >> Lire l'article complet sur le site La Tribune

Le contrôle des investissements étrangers impacte le private equity

Depuis plusieurs années, l'Etat peut bloquer le rachat d'une entreprise française par un acteur étranger lorsque son activité est jugée stratégique. Ces prérogatives récemment étendues pourraient désormais avoir un impact sur le secteur du private equity. En effet, un décret de la loi Pacte applicable depuis le 1er janvier a étendu ce droit de veto a de nouveaux domaines notamment le domaine technologique. Pour les licornes françaises et les PME innovantes cela pose donc la question de leur financement en capital risque et capital développement et risque de complexifier de futurs levées de fonds auprès d'investisseurs internationaux non européens. >> Lire l'article complet sur le site Les Echos

Londres toujours dans le brouillard à trois mois du Brexit

La fin de l'année n'a pas marqué la fin des négociations en Grande-Bretagne en vue de trouver un accord sur le Brexit. Pour le moment, l'accord négocié avec l'UE maintient le Royaume-Uni dans le marché unique pour les biens, avec la promesse de conclure un accord ambitieux sur le commerce et la coopération politique. Le filet de sécurité irlandais, ou " backstop ", permet aussi d'éviter le retour d'une frontière physique sur l'île d'Irlande. Une façon de ménager la chèvre et le chou entre les partisans du Leave et ceux du Remain mais l'interminable saga devra malgré tout trouver une issue au plus vite. En effet, la date fatidique du 29 mars 2019 approche inexorablement. >> Lire l'article complet sur le site Euractiv

Les patrons d'entreprises cotées ou dont l'Etat est actionnaire devront "impérativement" payer leurs impôts en France

Les dirigeants d'entreprises cotées ou dont l'Etat est actionnaire doivent impérativement être résidents fiscaux français." C'est ce qu'a indiqué Gérald Darmanin, ministre des Comptes publics au JDD, qui estime que la suppression de l'ISF doit "aller de pair avec un certain civisme fiscal." Une vague de vérification est en cours selon le ministre et des sanctions sont à prévoir en cas de fraude. Concernant le prélèvement à la source, Gérald Darmanin ne craint pas particulièrement les fraudes mais redit au contraire la confiance du gouvernement envers les entreprises, avec lesquelles un important travail de préparation a été mené : "le prélèvement à la source, ce n'est rien d'extraordinaire, juste une ligne de plus sur le bulletin de paie comme les cotisations sociales --et les entreprises collectent déjà la CSG ou la TVA." >> Lire l'article complet sur le site Challenges

S'abonner
au magazine
Retour haut de page