Rémunération: 6 Daf sur 10 disposent d'une part variable
Selon une étude publiée par Hays et DFCG, la majorité des Daf français perçoivent une part variable de rémunération. Avec comme premier critère, l'amélioration du résultat net de l'entreprise.
Dans 60 % des cas, les Daf disposent d'une part variable dans leur rémunération. C'est ce que révèle une étude menée conjointement par le cabinet Hays et l'Association des directeurs financiers et contrôleurs de gestion (DFCG) auprès de 400 cadres financiers issus de PME, ETI et grands groupes du territoire français.
Mesure de la performance
La situation varie également en fonction du profil et de la taille de l'entreprise. En effet, seulement 40 % des cadres financiers de PME disposent d'une part variable. La proportion est de 60 % dans les ETI et de 80 % au sein des filiales françaises de groupes internationaux ou des groupes français d'envergure internationale. Selon Hays et DFCG : " plus l'entité est structurée et ouverte à l'international, plus elle conçoit la part variable comme un outil de mesure de la performance des collaborateurs et de fidélisation ".
Plusieurs critères déterminent la part variable du Daf:
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- Dans la plupart des cas (60 %), il s'agit de l'amélioration du résultat net de l'entreprise.
- Viennent ensuite la fiabilisation des process (50 %)
- Puis, les gratifications exceptionnelles dans le cadre du pilotage d'un projet (40 %).
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