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Revue de presse pour directeurs administratifs et financiers (semaine du 19 novembre 2018)

Publié par Camille George le - mis à jour à

Cette semaine dans la revue de presse un business case "d'excellence", les banques centrales à l'épreuve des monnaies numériques mais aussi des infos pour limiter les risques en matière de crédit inter-entreprises et parce que Noël approche, pensez à faire un cadeau à vos équipes!

Comment Mersen travaille " l'excellence " de sa fonction finance

L'expert des spécialités électriques et des matériaux avancés a lancé, il y a un an, un projet pour doper les compétences, l'intelligence collective et le management des risques, mais aussi pour améliorer les process au sein de sa fonction finance.Le groupe a notamment développé les compétences en proposant via une plateforme digitale des formations sur l'éthique, la compliance, la gestion de projet ou encore la communication financière. La pratique de cross-audit réalisé par un nombre restreint et formé de personnes dans l'entreprise a été mis en place. De même un certain nombre des porcess ont été revu et corrigé, la dématérialisation des factures et de la gestion de change par exemple a permis de gagner en temps et en sécurité sur les process de contrôle interne. >> Lire l'article complet sur le site Les Echos

Fin du cash : pourquoi les banques centrales travaillent aux monnaies numériques d'Etat

Pour la patronne du FMI, Christine Lagarde, l'hypothèse d'une " nouvelle forme numérique de monnaie ", qui serait " un jeton garanti par l'État ", voire un " compte auprès de la banque centrale " pour les particuliers ou les entreprises " n'est pas de la science-fiction ". Selon une enquête de la BRI, 69% des 80 banques centrales sondées travaillent à un projet de monnaie digitale, utilisant la technologie de registre distribué (comme la blockchain). Si dans les pays développés ces réflexions sont menées c'est d'abord du fait du déclin du cash dans l'optique de réduire les coûts de la filière et freiner l'essor de monnaies privées à la WeChat pay par exemple, dans les pays émergents c'est plus dans un objectif d'inclusion financière pour toucher les populations non bacarisées. Mais De nombreux points restent à clarifier. D'ailleurs du côté de la Banque centrale européenne on émet des réserves : certes des monnaies numériques de banque centrale pourraient rendre plus efficace le règlement des échanges d'action et des changes à l'avenir mais pourraient aussi avoir des implications pour la stabilité financière et la politique monétaire. >> Lire l'article complet sur le site de La Tribune

Risque de crédit : le taux de défaut sectoriel comme critère clef

Seules 23% des PME françaises sont notées " investment-grade ", contre plus de 30% chez nos voisins allemands, italiens ou espagnols. Finalement, seules 0,2% des PME et " mid-cap " françaises sont notées " A " ou plus. Selon les secteurs d'activité, les profils diffèrent nettement d'un pays européen à l'autre. A l'heure où le crédit inter-entreprise direct va croissant notamment pour améliorer leur taux de rendement en cette période de faible taux d'intérêt, il vaut mieux regarder de près le secteur et le pays où l'on envisage de placer ses fonds. >> Lire l'article complet sur le site Les Echos

Les défis mondiaux de la comptabilité

Les enjeux liés à la comptabilité, matière internationale par excellence, doivent être vus d'un point de vue mondial, car l'économie est mondiale. S'il existe un langage universel, c'est le langage comptable. Un retour complet sur le congrès mondial de la comptabilité organisé par l'Ifac qui s'est tenu cette année à Sydney. Parmi les thèmes abordés, la data bien sûr et tout ce qui l'entoure : cybersécurité, intelligence artificielle, systèmes et par extension RGPD et éthique. Et si la prédominance du modèle anglo-saxon en matière de formation pour la profession, n'est plus à démontrer, il n'en reste pas moins de la place pour l'Europe et la France si tant est qu'on fasse le choix d'investir plus largement dans le développement de ces métiers. >> Lire l'article complet sur le site Les Echos

Le phénomène des salariés " boomerang " qui partent pour mieux revenir dans leur entreprise

Alors qu'il y a quelques années elles s'interdisaient de faire appel à d'anciens talents de peur de favoriser les départs, les entreprises qui peinent à recruter n'hésitent plus aujourd'hui a explorer toutes les pistes, quitte à réintégrer d'anciens employés. Pour les entreprises, laisser un employé revenir c'est envoyer le message que le droit à l'expérimentation est permis. Par ailleurs le salarié étant connu, le management est sûr de son talent. Un talent qui s'est de surcroît enrichi d'une nouvelle expérience professionnelle entre temps. Le risque de décalages culturels est minimisé allégeant par la même le coût de ses embauches par rapport à des embauches externes classiques. >> Lire l'article complet sur le site Le Monde

Et si vos salariés recevaient un cadeau pour Noël ?

Les cadeaux et bons d'achat accordés à vos employés à l'occasion des fêtes de fin d'année peuvent être exonérés de charges sociales. De quoi redorer votre image de manager bienveillant en limitant les frais pour l'entreprise. En effet, lorsque le montant total des cadeaux et bons d'achat que vous attribuez à chaque salarié au cours d'une année civile ne dépasse pas 5 % du plafond mensuel de la Sécurité sociale (166 € par salarié en 2018), vous n'êtes pas redevable des charges sociales correspondantes. Attention : le bon d'achat ne doit pas permettre d'acheter du carburant ou des produits alimentaires, sauf s'il s'agit de produit alimentaire dits " de luxe " dont le caractère festif est avéré (foie gras, champagne...). Mais bonne nouvelle s'ils sont à destination des enfants des salariés ils bénéficient des mêmes conditions d'exonération. >> Lire l'article complet sur le site Les Echos